Première Approche D’Une Sodomie 11 - La Métamorphose

Première approche d’une sodomie 11 - LA MÉTAMORPHOSE


Une préparation soignée de l’anus encore inviolé d’Angel, est entreprise sur les conseils et avec l’aide précieuse de Laura, une ancienne actrice bien connue du Cinéma X des années 80. Il faut à présent préparer la belle mature pour l’ultime épreuve.


La date du prochain samedi fatidique devenant inéluctable, Angel est terriblement angoissée par ce qu'elle pressent. Pourtant durant une semaine, je lui ai dilaté son goulet étroit avec une grande attention, me servant alternativement des crèmes, des pommades et des onguents que nous a vendus la brune Laura.


Mon épouse n'éprouve plus de douleur lorsque je fais aller et venir l'olisbos en caoutchouc dans son derrière. Or, malgré cela, elle redoute l'impressionnant phallus de Roland qui va lui percer la pastille et lui ravager sans aucun doute les entrailles. Mais, encore une fois, elle ne peut surseoir à cette expérience, car elle s'est elle-même fourvoyée dans cette escalade inconvenante, d'abord en se prêtant aux jeux libidineux de sa meilleure amie, puis en se faisant baiser par le jeune amant de Katte avec un plaisir qu'elle n'a pu dissimuler, enfin en me faisant des confidences sur ses fantasmes les plus secrets, que je ne me prive pas de lui rappeler.


Ce soir, elle doit accepter encore une fois de s'habiller suivant mes convenances libertines. En effet, je lui ai fait passer une robe en soie de couleur crème, presque transparente. Pour dessous, elle ne porte qu'une guêpière en dentelles de teinte miel, ainsi que des bas fumés d'un ton mordoré, attachés à ses jarretelles. Malgré ses protestations pudibondes, je lui ôte sa culotte, la fais glisser le long des jambes qui frémissent sous mes attouchements, puis, passant ma main entre ses cuisses, je constate en insinuant mes doigts près des grandes lèvres, que la chair est moelleuse presque moite. Le haut de la gaine soutient seulement le dessous de ses seins trop lourds, laissant apparents les mamelons dont j'ai recouvert les bouts d’un rouge à lèvres orangé.

Lorsqu'elle marche, la transparence de sa robe ne peut laisser ignorer la nudité de sa gorge et de ses fesses qui tendent le tissu arachnéen, alors que sa vulve fraîchement imberbe se devine aisément.



Notre automobile étant au garage pour une révision, je commande un taxi par téléphone, et c'est dans cette tenue que je lui ordonne de sortir de chez nous et de se rendre dans la rue. Heureusement qu'il est tard, cela nous évite de rencontrer des voisins de notre immeuble, par contre la rue déborde de promeneurs qui se rendent dans les restaurants du quartier. Des sifflets admirateurs retentissent à ses oreilles, et le chauffeur de taxi qui vient d'arriver la reluque sans vergogne. Soudain, elle me souffle confidentiellement à l’oreille qu'elle se sent fière de pouvoir exposer ainsi ses appas, qui, apparemment et malgré son âge avancé ne rebutent pas les admirateurs.


Dans le taxi, un monospace bien pratique, je farfouille entre ses jambes sous le regard du chauffeur, un asiatique qui n'en perd pas une miette dans son rétroviseur. Angel qui commence à être émoustillée se laisse masturber sans protester. D'ailleurs elle ne se rebelle pas lorsque je retrousse sa jupe, même lorsque, écartant ses cuisses, je fais admirer au taximan ses splendeurs intimes. Au contraire, bien que fermant les yeux, elle se soumet presque de bonne grâce à mes agissements lubriques, alors que sa vulve palpite d'excitation.


Lorsque nous arrivons au domicile de Katte, une fois la voiture arrêtée, j'introduis mes doigts dans sa chatte et j'écarte ses chairs, la masturbant vivement, ne lui laissant aucun instant pour se reprendre, puis, j'invite l'homme à me rejoindre à l'arrière. Mon épouse proteste faiblement alors que le taximan, joignant ses doigts aux miens, tripote la vulve et le clitoris, tout en contemplant ma femme qui se trémousse, secouée par les spasmes du plaisir.


Je vois bien que l’asiatique se régale d'être le spectateur privilégié de la jouissance que mon épouse ne tarde pas à éprouver devant nous.
Elle râle et lance des mots sans suite, agitant ses jambes sous les caresses voluptueuses de nos doigts audacieux, jusqu’à l’orgasme fulgurant qui la laisse à bout de souffle entre mes bras. Puis, elle se reprend et nous quittons le taxi. Angel est cramoisie de honte, surtout que le chauffeur nous souhaite une bonne soirée avec d'évidents regrets de ne pouvoir profiter un peu plus d'une si belle bourgeoise. À tout hasard, je prends sa carte avec son numéro de téléphone. On ne sait jamais, C'est un oriental prénommé Chang, il est assez beau gosse, et je pense qu’il pourrait contenter Angèl un de ces jours.


À notre arrivée dans la maison de l’amie de mon épouse, Roland accueille Angel en l'embrassant sur la bouche et en la faisant tourner autour de lui, admirant sa tenue impudique et suggestive.


Katte s'extasie sur la robe qu'Angel porte avec autant de classe et de sensualité lui dit-elle. Elle-même ne s'est pas non plus habillée d'une manière très décente. Elle s'est parée d'une jupe en velours de satin écarlate fendue sur quatre côtés, dont la forme en trapèze ne peut laisser ignorer ses fesses nues et sa vulve qui apparaissent chaque fois qu'elle se déplace. Pour mettre en valeur ses jambes, elle a enfilé des bas jarretières en lycra noir brillant. Sa poitrine abondante déborde du décolleté en carré d'un caraco sans manche, confectionné en voile de couleur noire. Lorsqu'elle se penche pour servir les apéritifs, ses mamelles imposantes ballottent sous le nez des convives, allumant nos regards concupiscents, ne nous laissant aucun doute sur la nuit qui de toute évidence va être très chaude.


Après le repas délicieux que Katte s'est fait livrer par un traiteur de renom et les cafés bus au salon, nous décidons d’un commun accord de danser, alors qu’une musique langoureuse sort de la chaîne stéréo. Le rythme lent du slow fait tourner la tête des deux femmes qui ont absorbé beaucoup de champagne au cours de la soirée.



Roland ayant pris Angèl dans ses bras, l'embrasse dans le cou, affolant les sens de la quinquagénaire, qui se trouve encore excité de la jouissance subie dans le taxi. Puis il lui pelote les seins à travers sa robe arachnéenne et sa main s'enfonce entre ses cuisses, caressant le pubis à travers le tissu en soie, alors qu'Angel se colle contre l'homme dont elle a brusquement envie. « Qu'il la prenne, - là, - tout de suite » pense-t-elle, oubliant toute pudeur.


D'ailleurs Roland a bien senti qu'elle était à point, aussi tout en dansant, il sort sa verge de son pantalon et retroussant la robe diaphane, il écarte d'une main les cuisses qui se dégagent sans difficulté, puis de l'autre main, il prend son énorme pénis, qu'il enfonce d'un seul jet dans le vagin qui brûlait d'être perforé. Tout en dansant, le couple copule dans la samba endiablée qui a succédé à l’alanguissement du slow.


Ils cessent presque aussitôt de danser et s'écroulent, enchevêtrés l'un dans l'autre sur un canapé, continuant à coïter avec ardeur. Angèl, dépoitraillée et retroussée, lance ses jambes autour du torse du jeune homme en l'appelant à la baiser, se trémoussant sous les assauts du mâle qui la coïte sans discontinuer jusqu'à l'éjaculation finale.


Je n'ai pas perdu de temps moi non plus, car tout en maintenant ma cavalière serrée contre moi, je lui dévore les seins qui se sont échappés de son corsage. Puis, ma main étant à la portée de la vulve qui s'offre avec tant d'impudence à mes attouchements, je la masturbe habilement, fourrant mes doigts dans son vagin qui dégouline déjà de mouille. Enfin m'asseyant sur un fauteuil, Katte se dispose à califourchon sur moi, défait ma fermeture de pantalon et sortant mon pénis devenu rigide entre le pouce et l'index, elle en ajuste le gland à l'écartement de sa vulve. Par petites pesées complaisantes du bassin, elle se l'enfourne lentement dans la chatte, se soulevant et se rabaissant en cadence sur mon vit, me faisant elle même l'amour.
Elle me chevauche ainsi comme une cavale en furie, et, il ne nous faut pas très longtemps pour jouir presque ensemble, mettant un terme aux préliminaires de cette soirée qui promet d'être torride.


Les deux femmes, un peu défaites, se rendent à la salle de bain pour se rafraîchir et se refaire une beauté, car leur maquillage et leur coiffure ont pâti de cette copulation endiablée. Elles en profitent pour retirer entièrement leurs vêtements, Angel ne conservant que sa guêpière en satin miel et ses bas, alors que Katte, qui a seulement gardé ses bas jarretières en lycra noir brillant, revêt un caraco très court en dentelle noire, soulignant encore davantage sa nudité. Avec Roland, nous nous douchons dans la seconde salle d'eau, puis, nous revêtant seulement de notre caleçon, nous nous retrouvons tous ensemble dans la chambre de Katte…


À suivre

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